29/09/2011

Always The Sun



Il y a une quinzaine de jours, nous discutions tranquillement avec mon fils de choses et d'autres. D'un coup il s'interrompt et me lance : " Papa, regarde le ciel comme il est beau ".
Il est vrai que le dégradé de rose flamboyant qui transfigurait le ciel était du plus bel effet, à rendre amoureux un pierre...
De chez moi impossible de faire la moindre photo, le ciel étant obstrué par les habitations voisines.
" Quel dommage "me suis-je dit en me promettant intérieurement que ce rendez-vous manqué ne serait qu'une fausse note et que ma partition quoi qu'il advienne aurait sa mise à jour.
Hier soir ( comprendre, quelques jours ), je buvais un café à la cuisine ( encore.... je sais ) et le soleil déjà déclinant, brillait d'un feu de joie.
La, je me suis aussitôt dit : " coco, tu vas y aller ! "
Je me suis préparé deux cigarettes, changé les piles du bridge et salué mon petit monde arguant des promesses de l'orée du jour.
Une fois Mezzanine en lecture, j'ai enclenché la première sachant où j'allais me poser pour immortaliser la sortie quotidienne de notre étoile.
Sur la route, je vois assez vite qu'il est déjà bien bas mon ami. Je dois forcer un peu l'allure. Dix minutes plus tard, je suis garé à coté de mon arbre comme j'aime à l'appelé. Lui, qui voilà des mois, photographié quand les pastel de février aussi beaux fût-ils n'ont pas réussis à me réchauffer m'a cependant enchanté.
Je n'y étais pas revenu depuis, et l'environnement a radicalement changer. Le sol gelé de marbre a laissé place à de grandes pousses de maïs et des champs de graminées se voulant pour les plus poètes des petits roseaux.
Mon lot de photos sur ma carte, je me suis assis, puis allongé dans le champ de poacées savourant simplement ce petit cycle de vie, regrettant néanmoins le manque d'audace de mon sujet qui comme pour me rappeler que lui seul, le roi impose et nous pauvres petits humains disposons et non l'inverse, ne m'a donné finalement qu'un fragment...
Un sursaut d'orgueil m'autorise une dernière échappée vers le fuyant à la recherche de l'ultime cliché de ce début de soirée à présent. Je suis à un kilomètre en voiture de l'église d'Ibos ( elle aussi déjà photographiée ) et sa façade, si je calcule bien doit être en plein face à face astral.
J'ai vu juste, la pierre rouge comme brulée par notre soleil lui confère une stature digne des plus grandes, je shoote sans réserve.
Ma petite quête touche à sa fin. Ayant regardé vite fait les photos prisent dans la voiture, me voilà confiant, en plus d'une petite heure très réussie dans la forme, le fond lui est prometteur.
Ravi, je file d'un trait continu à la maison.



26/09/2011

Les temps modernes



( Tarbes, Dimanche 25 septembre, 19h et des poussières )

25/09/2011

Alambic Conspiracy - The Missing Dub Versions - Free Download

Quand on me dit : Italie, j'aurais tendance à penser à la Squadra Azzura, à Miguel Ange, au spaghetti, à tutti quanti et Léonard de Vinci... ( non non pas au gros porc de Berlusconi ).
Niveau musique, on ne peut pas dire que les Latins sont les plus connus pour leur appétence au Dub et autres joyeusetés électro. Par analogie, c'est comme si on louait les qualités du Flamenco Scandinave ! Je sais dit comme cela, la peur peut s'installer immédiatement et pourtant...on se trompe !
Au travers du collectif Alambic Conspiracy, divers groupes aux influences variés se sont regroupés pour nous offrir ce The Missing Dub Versions riche de 16 titres, qui sans doute possible tient largement la route. Et tout ça pour ne rien gâcher, proposé en téléchargement gratuit.


Playlist :

01 Unity
02 Dub Has Come
03 Why
04 Dem Cyaan Give Us Dub
05 Hemp Dub
06 Gianni Boy Dub
07 Load Dub
08 Dub Thinks
09 Open Your Dub
10 One And Only Dub
11 Blue Pills Dub
12 Disequilibrium
13 Dub Room
14 Woody Slum Rusty Mix
15 PulluvarKudamDub
16 12th June Dub

Une bonne petite galette sans prétention, mais diablement efficace. Quelques bonnes vraies grosses balouzes sont de la partie et le tout est de bonne facture. Idéal en somme pour se plonger doucement en ce début d'automne dans des sonorités bien agréables ! Décidément le reggae/dub est plus qu'universel.
Comme quoi, les ( mes ) préjugés encore un fois sont mis à mal... 

21/09/2011

Le salut par le chaos



Réveil douloureux en ce dimanche matin, la nuit à été mauvaise et je suis déjà crevé... à 9h.
Je bois mon petit café soluble qui comparé à mon habituel expresso relève presque de l'infamie. Je ferais avec, le temps que la machine soit réparée. Pas vraiment le choix faut dire.
Le temps est à l'image de ma condition, pourrie ! Il pleut, la fenêtre ouverte laisse clairement entendre que l'air froid sera son allier du jour et qu'il est illusoire d'espérer autre chose, bon... 
En allumant ma cigarette qui accompagne mon mauvais café, je sais qu'il va falloir sortir pour aller en acheter. Cette perspective, ne m'effraie que peut, je suis déjà comme résigné.
Armé de mon appareil photo, ma petite balade dominical sera peut être plus passionnante me dit-je... La trotteuse de m'a montre n'a pas fait trois tour complet que je suis déjà prêt. C'est marrant comme l'entrain peut naitre subitement...
Je décolle sans maudire le monde.
Un fois mes cent vingt grammes de tabac dans ma besace, je me dirige vers le petit parc me faisant face. Il orne avantageusement le musée des Hautes Pyrénées fraichement restauré. Je prends un dizaine de photos mais le temps fadas et sa lumière exsangue interdit tout résultats probant, je le sais. Cette série sera à l'image  de l'atmosphère bien morne. Je dois changer d'optique...
Il fait vraiment gris, le ciel est chargé, je dois composer avec. Je me rappelle à ce moment là, que non loin existe un bout de rue qui comme oublié des hommes demeure là, à l'agonie. L'excitation pointe le bout de son nez. 
Trois minutes de voiture plus loin, je me gare sur le bas coté opposé. La rue est desserte, les cents mètres de ce morceau de Tarbes sont bien raccord avec les éléments du jour, délabrés !
Je teins ma photo.
En scrutant au travers de la grille rouillé par le temps et la pluie, j'aperçois au fond d'un jardin qui n'en a que le nom, une veille camionnette sans âge, elle aussi atone. J'ai ma deuxième photo.

Ce petit tour en ville qui s'annonçait comme une ( petite ) galère se trouve au final embellie par ce chaos urbain.
Mon deuxième café sera nettement plus à mon goût.


19/09/2011

Fuck you anyway...

But I don’t think I can so fuck you anyway
You are scum, you are scum and I hope that you know
That the cracks in your smile are beginning to show
Now the world needs to see that it’s time you should go
There’s no light in your eyes and your brain is too slow
Can’t believe you were once just like anyone else
Then you grew and became like the devil himself
Pray to god I can think of a nice thing to say
But I don’t think I can, so fuck you anyway
Bet you sleep like a child with your thumb in your mouth
I could creep up beside put a gun in your mouth
Makes me sick when I hear all the shit that you say
So much crap coming out it must take you all day
There’s a space kept in hell with your name on the seat
With a spike in the chair just to make it complete
When you look at yourself do you see what I see
If you do why the fuck are you looking at me

Why the fuck are you looking on me mmmh
Why the fuck are you looking
Why the fuck why the fuck are you looking at me 

There’s a time for us all and I think yours has been
Can you please hurry up cos I find you obscene
We can’t wait for the day that you’re never around
When that face isn’t here and you rot underground
Can’t believe you were once just like anyone else
Then you grew and became like the devil himself
Pray to god I can think of a nice thing to say
But I don’t think I can so fuck you anyway

So fuck you anyway 
Archive - Fuck U

Ben, je crois que cela se passe de commentaire... Si ce n'est : Dans ta face ! ( de l'intéressée of course ).

16/09/2011

Just Black & White !

En faisant un peu de classement en parcourant mes photos, je me suis rendu compte qu'ils y en avaient quelques unes que je n'avais pas publiées ici sur le blog et qui en toute modestie sont à mon sens assez réussis. J'en ai sélectionné dix, toutes en noir et blanc. Celles et ceux qui suivent un peu mes publications n'auront pas manqués de remarquer qu'elles y ont la part belle...
On y trouve pêle-mêle ; Tarbes, Soulac, Carcassonne, Marseille, et Anglet. Certaines photos ont quelques jours, d'autres quelques mois.












14/09/2011

L'autre

Ce matin, il est de très bonne humeur. Il a pris le temps de petit déjeuner copieusement, ce qui n'est plus la règle chez lui. Il s'est apprêté avec grand soin, en prenant tout son temps. Il n'est pas pressé, les funérailles de l'autre sont à 12h.

Son lourd manteau noir sur le dos, il file en sifflotant vers son dernier rencard avec l'autre. Les quelques personnes présentes ne lui prêtent guère attention quand il entre et s'assoie dans l'église. L'office va bientôt démarrer.
La veille, il s'est entretenu brièvement avec le père qui va officier. Il lui a demandé s'il pouvait dire quelques mots pendant la cérémonie. L'autre mérite quand même bien cela.

Une bonne demi-heure s'est écoulée depuis le début des palabres religieuses quand le père l'invite à se rendre à l'estrade. Serein, presque détendu, il s'avance tranquillement et prend place. Scrutant rapidement l'assistance dont les quelques visages tordus du jour ne lui disent finalement pas grand chose, il se racle la gorge. 

« Fiente : substances ou particules non assimilées et masse de bactéries du tube digestif expulsées par l'anus lors de la défécation accompagnée souvent de gaz. Si je prends soin de définir avec précision ce résidu corporel, c'est qu'il qualifie à merveille ce que tu es à mes yeux : un gros paquet de merde ! Te voilà enfin couché dans ta caisse en bois, planqué cette fois-ci définitivement. Quand le téléphone a sonné il y a trois jours pour m'annoncer ta mort,  ma première réaction a été de me dire : Putain, il aurait pu avoir la décence de crever en juin ! On va se peler. C'est vrai quoi,  tu aurais pu faire un petit effort et penser aux autres pour une fois. Tu nous réunis malgré toi dans ce lieu, moi qui ne suis pas un homme de quelconques églises, aujourd'hui j'ai envie d'avoir la foi. La foi en ce monde de rédemption, d'apaisement et de salut pour les hommes. Je me dis peut être naïvement alors que toi tu n'y auras pas droit. Si Dieu est là, le diable sera ton hôte. Comment pourrait-il en être autrement ? Sincèrement, je ne vois pas. Tu serais à ta place là, avec tous tes semblables. Pour finir, je voudrais ajouter deux mots. Boris Vian a écrit de manière volontairement outrancière un roman noir intitulé : J'irai cracher sur vos tombes. Sans vouloir le paraphraser et lui faire injure, sache que de manière tout aussi provocante, et j'en ai fait le serment depuis longtemps, tu vois j'use même volontairement d'un vocabulaire adapté, je fais des efforts... que j'irai pisser sur ta tombe ! »


Sur ce, il quitte l'estrade. L'assistance mortifiée, comme voulant rejoindre l'autre dans sa boîte, ne trouve mots et pourtant le dévisage. Lui, après avoir glissé un mot d'excuse à l'oreille du prêtre qui, l'air sévère, est resté de marbre, sort de l'église par l'allée principale, la tête haute, droit comme un I. Il n'a jamais fait aussi froid...
Deux heures ont passé. Après avoir bu une coupe non loin, il est là seul face à l'autre dans son trou fraîchement recouvert, fumant une cigarette.

Pour seule épitaphe, l'autre n'aura que de l'urine.

11/09/2011

Ils ont gagnés !




Malheureusement, je ne vois ce que je peux dire d'autres.
Puisque la seule sémantique acceptable pour le mot vérité est celle par un consensus nauséabond donnés par nos médias dominant...
Puisque la même rhétorique puante continue de prévaloir pour qualifier celles et ceux qui osent seulement douter...
Puisque la communication remplace l'information... 
Puisque comme c'est impossible, alors forcement ça l'est...
Puisque c'est la télé qui le dit...
Puisqu'au final tout le monde s'en fout...

nb : je note cependant un léger sursaut de certains médias.... enfin ! ( plus d'infos ici ).

07/09/2011

Je suis à la bourre !


Pascal, il faut te réveiller !

En effet, je suis vraiment très en retard dans mes lectures. Non pas que j'aime plus lire, mais il est vrai que ces derniers temps, je suis un peu flemmard niveau lecture.
J'ai donc un livre en cours ( Les armes secrètes de la CIA ) qui n'est pas facile facile à assimiler mais très intéressant. Il faut juste que je m'y remette. Cela commence par là...
Les trois autres en attentes sont le Claudel prêté par le Bro, que ma Douce à déjà lu et beaucoup appréciée. J'enchainerais par celui-ci. 
Le bouquin de Pierre Jovanovic " Enquête sur l'existence des anges gardiens" est un cadeau de Steph (Thx's man ) et ne demande assurément qu'a être dévoré. La découverte de tout un univers qui m'est parfaitement inconnue...
Quand au dernier, ce n'est pas un roman ni un essai mais un bel ouvrage qui traîne dans ma bibliothèque depuis des années, sur les civilisations disparues ( Mayas, Egyptiens, etc ) et des lieux mythiques tel que l'île de Pâques et le Machu-Pichu. Deux des endroits de la planète, où j'aimerais me rendre ( dans un monde parfait...) et qui me font rêver. 

Des lectures très variées donc qui si je me bouge un peu ( je sens que l'envie revient...) vont m'offrir de belles soirées.

06/09/2011

Dans les airs !

Puisque mon grand bonhomme s'est acheté un Oxeloboard il y a quelques jours, il fallait bien un jour ou l'autre se résoudre à l'amener au park, aux vues de ces demandes instantes et répétées...
En début d'après midi, n'écoutant que mon grand coeur, nous y sommes allés ( il m'arrive quand même de travailler, je vous rassure ).
Il à eu bien vite fait de rider la place dédiée au accros de la glisse urbaine.
Se trouvait là, un jeune homme, Yoan de son prénom qui lui, on peut le dire déchirait sur son BMX le park dans ces grandes largeurs. Un vrai régal pour les amateurs. En tant qu'ancien skater (.... Hum, punaise, le sacrée bon temps avec le Bro ! ), il est certain qu'il m'a tout suite plus ce petit gars.
Je suis allé lui demander gentiment si je pouvais le prendre en photos, il à acquiescé de suite.





Je n'ai pas manqué de prendre en photo mon Yohann (... dingue ! ) qui tranquillement appréhende de mieux en mieux sa nouvelle board et de l'encourager à gagner encore en vitesse, synonyme de stabilité...
C'était sympa de voir des jeunes se défoncer à la glisse et m'a fait quelques instant ( seulement...) replonger à une époque ou mais mes jambes sans maux, me faisait voler sur mon skate tel un guerrier urbain...

Putain de sclérose !


05/09/2011

Pluie d'éclairs et pétages de plombs !


Quand les plombs ont sautés pour la dixième fois en une demie heure..., nous avons décidés de ne plus s'entêter pour pas grand chose.
Je l'avais quand même un peu mauvaise car je regardais le foot avec mon  grand bonhomme ( nobody's perfect...) qui depuis peu aime vraiment voir les matchs avec son papa. Cela me replonge presque 30 ans en arrière, quand avec mon frère nous regardions les match de l'équipe de France avec notre père...
Les filles elles, regardaient dans la chambre un comte fée en streaming. L'ordre des choses quoi !

Plongés dans le noir par la force des éléments, nous nous sommes regroupés dans la suite parentale. Assis en rond sur le lit, avec une petite lampe de poche pour feu de camp.
Très vite, la discussion s'est naturellement orientée vers des histoires de fantômes pour ne pas jurer avec cette ambiance de fin de monde, tant dehors une pluie d'éclairs déchirait sans relâche le noir du ciel.
Les enfants très en verve y sont allés chacun de leurs petits contes improvisés. Une fois les monstres en tout genres passés en revue, les histoires à Toto et autres joyeusetés ont pris le relais pour le plus grand bonheur des petits narrateurs du soir.
Pour ma part, j'aime beaucoup les histoires et les blagounettes ( dans une certaine mesure ), mais je suis incapable de les retenir et encore mois de les raconter...
Alors avec un plaisir non dissimulé, en simple spectateur conquis, je l'ai écoutés et observés avec bonheur au final bien content de ce pétage de plombs.

Des petits moments précieux comme la vie offre parfois, sans rien planifier, sans rien demander et surtout sans rien espérer...

Bref , de l'or en barre.

02/09/2011

Street Art

Ce matin, je me suis arrêté devant un des seuls murs ( à ma connaissance ) vraiment recouvert de graffs de ma ville. Ben oui pendant que d'autres bossent, moi je flâne ! Dur, je sais...

Je ne suis pas un fanatique du graff, loin de là. Mais je dois reconnaître que je suis impressionné par la dextérité de leurs auteurs, qui souvent font jaillir de leurs bombes des vrais petits bijoux.
Et dans certains cas, je trouve cela très à propos. Plutôt qu'un vieux murs sale et gris, genre bien pourris, je préfère de loin cette forme d'art contemporain...
Pour ne rien gâcher, vu que les couleurs sont souvent utilisées de façon presque outrancières, cela offre de nombreuses possibilités de bidouilles ( traitement avec Lr 3 : j'en ai déjà parlé ici ) de celles-ci justement. Comme proposez ci-dessous.






Pourquoi avoir besoin quand il suffit d'avoir envie ?

Si c'est pas une bonne question ça ?

Je lisais cette remarque ce matin sur un forum...

Faire les choses seulement par envie sans aucune contrainte de quelconques nécessitées... Ah oui cela laisse rêveur non ?
Tiens, j'ai envie de fumer une cigarette!  Si si, sans addiction. Juste le plaisir ( de m'encrasser les poumons...) de me relaxer voyons.
Mieux encore, allez bosser par envie. Là, nous sommes proche du Graal !
Je sais bien qu'il existe quand même et heureusement quelques énergumènes qui dès le réveil pavoisent à l'idée d'aller au travail, se donner à fond pour la ( juste ) cause ( du patron ?... ), pour le bonheur de servir de nobles dessins... voire pour changer le monde, qui sait ? Bref, pour s'éclater au taf comme des malades quoi !
Mais bon, soyons un minimum sérieux, c'est pas le cas de la majorité d'entres nous. Enfin je pense, j'aime à le croire... sinon merde, dans quel angoisse d'être un des seuls guignols dans ce cas.
Un autre truc qui vient à l'esprit : Acheter uniquement par envie, sans pression d'aucune sorte ( commercial, effet de modes, etc ) et surtout sans le facteur financier... Putain ! Je sais, mes yeux commencent à sortir de leurs orbites dangereusement... mais bon autant pousser le truc vers l'excès.
Bref, la notion de besoin s'évaporant comme par magie, ne resterait dans l'équation qu'une seule variable :
l'envie ( que l'on associerait cela va de soi avec le plaisir...).
Oui c'est ça !
Allez c'est mon programme pour 2012 :  Non, non, je n'ai pas besoin, c'est juste une envie, nuance !

Mesdames et Messieurs les candidats pour 2012, je vous serré gré de penser à imaginer une solution pour que ma chimère du jour puisse, un moment ou un autre devenir une réalité.
A vos crayons et papiers, j'attends vos propositions.

( nb : Ben oui, ma voix compte double ! o-o-o-o )